Mon utilisation du bleu, du rouge et du jaune dépasse l’évidente référence. Les trois couleurs primaires deviennent un outil premier chargé d’un ressenti subjectif.
Si Chacune d’entre elles est le code assigné à un plan (le bleu fort pour le plan le plus proche, le jaune clair pour le plan lointain, le rouge pour le plan intermédiaire), en lumière pauvre la perception s’inverse. Le rouge est encore à sa place, mais le jaune, par sa luminosité vient en avant, alors que le bleu recule. Cette réflexion emprunte, plus qu’il n’y paraît, à l’Impressionnisme.